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Psychomotricité et troubles linguistiques

Dans le cadre de ce cours, il nous a été proposé de réaliser, en groupe, un atelier en psychomotricité dans le but de faire vivre avec le corps une notion qui poserait difficulté dans le cas d'un trouble linguistique.

Groupe de travail: Claraa Fonsny, Mathilde Canva, Morgane D'hauwers

Psychomotricité et dyspraxie

À la suite de recherches sur les troubles linguistiques, nous avons pu remarquer des aspects psychomoteurs communs qui pourraient être intéressants à développer. Nous avons choisi de nous pencher sur la dyspraxie et la latéralité chez celle-ci.  


En effet, chez l’enfant dyspraxique, le langage écrit pose problème (l’écriture étant une praxie). Avant de réaliser une prise en charge graphomotrice il est important de s’assurer que l’enfant a bien les prérequis de l’écriture.  


L’intervenant doit s’assurer que l’enfant soit bien latéralisé pour se lancer dans le travail de l’écriture.  


Nous avons plusieurs latéralités : celle de l’œil, de la main et du pied (ainsi que l’oreille mais nous ne la travaillerons pas lors de cette séance). Il faut observer les trois car elles ne sont pas toujours du même côté. L’intervenant ne peut pas imposer une latéralité à l’enfant, il faut que ce dernier les stimule régulièrement pour qu’une s’automatise.    


Il est important que l’enfant vive avec son corps les expériences de la latéralité. D’abord, il doit apprendre que son corps est composé de deux cotés, le gauche et le droit. Il doit ensuite sentir qu’un œil, qu’une main et qu’un pied est plus « fort » que l’autre. Il stimulera spontanément les plus forts pour être plus précis avec ceux-ci.

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